La cavalerie républicaine
Il n’y eut plus d’actions de cavalerie comme à Froescwiller, Mars-la-Tour ou Sedan. Les régiments survivants furent complétement inqdaptés à la suite des opérations et aux besoins de la nouvelle armée. On utilisa un système similaire à celui de l’infanterie pour créer de nouveaux régiments de cavalerie avec les dépôts. On forma deux divisions incorporées à la 2e et 3e Armée. La 2e avaient le 1e et 2e « régiment de marche » de dragons (13e et14e), le 1e et 9e chasseurs, un escadron de spahis et six escadrons de grendarmes à cheval (46 officiers et 720 hommes). La 3e Aemée avait le 1e lanciers « de marche » (9e), le 2e cuirassiers (12e) formé avait les dépôts des Cent-Gardes, des cuirassiers et les carabiniers de la Garde et le 1e cuirassiers ; des régiments mixtes avec les escadrons des dépôts des lanciers, chasseurs, guides et dragons de la Garde.
On créa le 26 août quarante régiments : neuf de cuirassiers, dix de dragons (incluant le 7e et le 11e recréés), cinq de lanciers, deux de chasseurs, quatre de hussards et dix régiments mixtes. Les « régiments de marche » avaient quatre escadrons (cinq pour le 7e et le 11e). Les régiments mixtes étaient composés de différents escadrons de différents types de cavalerie en majorité légère.
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